Un temps de rencontre dédié au réseau de la CNCD
Ce fut l’occasion pour les technicien.nes de conseils de développement présents, de participer à un temps d’échanges collectif au cours d’une rencontre réseau. Ils ont pu partager leurs expériences sur des thématiques et problématiques communes, mais aussi échanger avec l’équipe de la CNCD sur les prochaines 14e rencontres des conseils de développement.
Co-animation d’un atelier sur « les jeunes ont-ils vraiment leur place dans les dispositifs de participation ? »
La CNCD, en collaboration avec l’Anacej et DébatLab, a organisé un atelier visant à examiner les conditions favorables à l’engagement des jeunes dans les instances participatives permanentes. Pendant cet atelier, 3 jeunes impliqués dans des instances participatives ont partagé leur expérience, et les participants ont par la suite identifié en groupe les incontournables.
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CONSTATS
Peu de jeunes candidatent pour y prendre part. Ils ne connaissent pas l’existence de ce type d’instance (peu de communication et d’information dans les établissements scolaires et dans les universités).
Les 3 témoins expriment ressentir parfois un décalage ou des difficultés pour prendre la parole face à des personnes plus expérimentées.
en intégrant le bureau par exemple. Jean-Baptiste Martial a candidaté pour rejoindre le bureau, il est actuellement vice-président du C2D Bordeaux métropole.
(nécessité de convaincre de la légitimité de la parole des jeunes).
Il faut également aller vers les jeunes sur le terrain, pour recueillir la parole de ceux qui ne s’expriment pas spontanément et les encourager à prendre part aux initiatives déployées.
A QUELLES CONDITIONS LES JEUNES PEUVENT-ILS S’IMPLIQUER DANS DES INSTANCES PÉRENNES ?
Peu de jeunes candidatent pour y prendre part. Ils ne connaissent pas l’existence de ce type d’instance (peu de communication et d’information dans les établissements scolaires et dans les universités).
La communication doivent intéresser les jeunes.
Clarifier les règles du jeu dès le départ, notamment la manière dont les propositions sont prises en compte.
Accueillir, faciliter, respecter et valoriser la parole des jeunes.
Prévoir de la flexibilité, favoriser l’engagement sur du court terme sur sujet précis.
notamment les acteurs de la jeunesse : éducation nationale, MJC, missions locales pour diversifier les publics.
avec des temps d’auditions d’experts par exemple
travailler sur les préjugés envers les jeunes
nécessaires pour son bon fonctionnement
dans la prise de décision en les encourageant par exemple à rejoindre le bureau de l’instance
pour les jeunes dans un format ludique (ex : week-end mêlant ateliers, activités, formation à la prise de parole…)
au processus de sélection des sujets traités par l’instance.
à la citoyenneté dès l’école primaire et intégrer dans le temps scolaire des heures dédiées à la pratique participative.
POINTS DE QUESTIONNEMENTS
Faut-il indemniser la participation des jeunes ? De quelle manière ?
Les dispositifs participatifs sont-ils adaptés à la participation des jeunes ? Faut-il favoriser une participation plus ascendante, en dehors des dispositifs descendant ?
Faut-il privilégier les dispositifs en non mixité ?
Quel droit de suite pour les instances participatives ?
Faut-il ajouter des critères supplémentaires à l’âge pour aller plus loin dans la diversification de la composition (CSP, lieu de résidence…) ?
Accédez au compte rendu de l’atelier sur la visilité des conseils de développement
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